Pourquoi Chavez ne peut pas et ne pourra sans doute jamais nationaliser complètement l'industrie du pétrole:
Le vidéo à été retiré à la demande de Radio-Canada
Extrait de L'heure des comptes, radio de Radio-Canada (vendredi 25 mai)
Pourquoi Chavez ne peut pas et ne pourra sans doute jamais nationaliser complètement l'industrie du pétrole:
Le vidéo à été retiré à la demande de Radio-Canada
Extrait de L'heure des comptes, radio de Radio-Canada (vendredi 25 mai)
Ben oui tu le savais pas, Chavez est plus capitaliste que Jean Lesage, René Lévesque et Joseph Facal. Il n’a osé « socialisé » la richesse énergétique de son pays qu’à une hauteur de 60%.
Prenons exemple sur lui et et privatison Hydro-Québec.
Excellente idée.
Essaye de vendre de l’idée de priver l’État de dividendes de 2,34 milliards (en 2006) pour des actionnaires dont une grande partie sera des fonds de retraite de babyboumers.
Bonne chance.
Excellente idée.
Priver l’État de revenus, je n’ai pas à priori d’objection. Tu coupes où? Car c’est quand même beaucoup d’argent.
Ce qui me chicote un peu, c’est l’idée de privatiser les revenus et de socialiser les dépenses.
Je ne sais pas si tu as réalisé, mais tu es complètement hors sujet…
C’est un peu ce que j’essayais de te faire comprendre…
On ne nationalise pas un secteur mais bien une ressource. Sans quoi c’est le bordel.
Nationaliser le pétrole, c’est contrôler les gisements avant tout. Pour les industries de transformation, il est possible d’imposer un cadre d’exploitation et de prélever des taxes.
C’est gentil de me le signaler, je suis désolé d’être lunatique et lent mais c’est quoi au juste le propos de ce billet?
La chasse aux sorcières de Chavez qui c’est retourné contre lui.
De ce que je comprend, le Vénézuela n’a pas tant besoin du privé que d’ouvriers qualifiés. Le même problème est arrivé aux bolcheviques dans les années qui ont suivi la révolution Russe et aussi à Cuba, quelques années après la révolution Cubaine. C’est un problème récurant chez les régimes communistes, premièrement ils trouvent plusieurs de ces employés suspect par leur manque de ferveur révolutionnaire(étant qualifié et ayant donc déjà des conditions acceptable, ils ne voient pas trop ce que la révolution peut leur apporter). Puis quand ils voient leur collègues se faire harceller ou arréter, le reste plie bagage.
Bref, c’est le don que les communistes ont de faire fuir(ou de fusiller eux même) les gens dont ils ont le plus de besoin une fois au pouvoir.