
Pour souligner le 1er mai, journée internationale du prolétaire, un numéro du Camarade Coluche à la gloire du communisme !
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C’est si facile de cracher sur un rêve.
Si ton rêve c’est un repas avec un sandwich polonais…
Pour moi c’est un cauchemar.
en passant, tu connais beaucoup de véritables communistes au Canada ? Notre spectre politique est pas mal plus limité ici qu’en Europe ou on retrouve plus des 2 extrèmes. Au USA on en parle même pas, car quelqu’un de centre droite là bas se fait traiter de maudit communiste.
Pour moi aussi le communisme est un cauchemar, autant que le néo-libéralisme ou le fachisme.
Québec Solidaire
C'est sur, à mort le néo-libéralisme qui permet aux gens de se sortir de la pauvreté ! Je suis sur qu'Hitler était néo-libéralé
Dans leurs commentaires concernant un autre billet, certains ont émis l’opinion que tu étais un inculte. Ils ne m’apprennent rien, je le savais déjà, mais ce billet ne fait que renforcer cet avis.
Avant de cracher ton venin sur le 1er mai, peut-être devrais-tu te renseigner sur l’émeute de Haymarket, ainsi qu’August Spies et ses camarades. Une fois que tu l’auras fait, je considèrerai peut-être tes propos sur cette fête comme étant autre chose que les grotesques préjugés d’un ignare dont l’égo et l’opinion de ses propres connaissances sont grossièrement demesurés.
Et toi, tu vas me parler de la révolution hongroise, après tout, elle est survenu 70 ans après l’émeute de Haymarket.
August Spies était un anarchiste à la con.
Être anti-communiste ce n’est pas être anti-travailleur, bien au contraire.
Si Québec Solidaire est communiste, tu es un fasciste à ultra-forte tendance hitlérienne.
Je sais qu’André Parizeau, Parti communiste du Québec, a été candidat pour Québec Solidaire.
Je sais que le Parti communiste du Québec a donné l’ordre à ses membre de voté pour Québec Solidaire.
Bon je vais vous épargner 8 pages de commentaire. Pour David, Québec Solidaire, c’est des extrémistes de gauche. Je sais, ils ne réclament pas une révolution, ils ne parle même d’auto-gestion d’usines, mais, les odieux traitre à la solde de moscou, ils veulent nationaliser l’air, l’eau et les médicaments. Bref, un programme de gauche, bien dilué, pour David, c’est l’extrème gauche.
Pour lui, la gauche, c’est Facal, Dubuc et Tony Blair. Tout ce qui est à gauche ces gars là, c’est l’extrème gauche. Il a aussi dit Ségolène, mais il ne devait pas penser ce qu’il disait, car Ségolène, si je ne m’abuse, propose des trucs très à gauche pour ainsi dire(pas qu,elle va les réaliser remarquez, c’est qu’il faut qu’elle convainc un grand panel électoral composé de modérés et de plus radicaux).
Bon je sais, c’est con, ça fait pas de sens, mais c’est comme ça qu’il pense notre David!
Vous pouvez vous ostinez pendant des jours, ça n’y changera rien. Monsieur a des chiffres, il n’est donc pas dogmatique. Les marxistes aussi aimaient beaucoup les chiffres, je doutent qu’on puisse dire qu’ils étaient ouvert d’esprit pour autant.
Ahhh ! D’accord, merci beaucoup de ton intervention Kraman. Je comprends beaucoup mieux à présent.
En gros, il a la pensée politique américaine, où les démocrates sont de gauches et les républicains de droite.
C’est pigé, merci encore.
Pas les 183 membres du parti communiste ???
Étonnant qu’avec un tel appuit important, QS a seulement été 4e… C’est certain que Québec Solidaire est à gauche, et même assez loin à gauche je dirais. Mais de là à les traiter de « communistes », c’est tellement simpliste. Comme j’aime bien le répéter, c’est aussi con que de traiter de facho tous le monde à droite de QS…
En effet, c'est la seule conclusion raisonnable quand on réalise que Québec Solidaire est noyauté par le Parti Communiste du Québec.
Un parti qui reprend le slogan des marxistes des années 70: "faisons payer les riches".
Quand un type aussi crédible et intelligent que Facal considère Québec Solidaire d'extrême gauche, c'est signe que le raisonnement n'est pas simplement issue d'un type isolé sur le net.
Pour moi le communisme c'est l'extrême gauche.
Cesses de me mettre des mot dans la bouche. Je n'ai jamais rien dit de tel. Essayer d'avoir raison en inventant des citations c'est franchement pathétique comme moyen de discussion.
Si les marxiste avaient aimé les chiffres, ils auraient eux même sabordés leur formation politique.
Si si, tu a vraiment dit que ségolène était dans la nouvelle gauche, comme Boisclair. Mais je suis trop paresseux pour retrouver la citation exacte, peut-être cette nuit, quand je ferai de l’insomnie.
C’est mal connaitre les marxistes pour affirmer cela. T’es peut-être trop jeune pour en avoir croiser des vrais. Bon, Karl Marx, dans la vie, il était pas un révolutionnaire avec un couteau dans la bouche, c’était un intellectuel, qui n’a pas dit que des conneries d’ailleurs, et surtout, c’était un économiste. Les économistes, ne font pas qu’aimer les chiffres, ils leur vouent un culte. Il a donc fondé le matérialisme historique et gna gna gna.
Puis, sont venu ceux qui ont décidé d’en faire le nouveau Christ sur terre, les marxistes. Comme leur idole, la science que les marxistes placent au dessus de tout, c’est l’économie, mais aussi l’histoire, mais l’histoire expliqué par l’économie et les luttes sociales en résultants, donc l’économie.
En Histoire, y’avait donc une importante école de pensée marxiste. Leur spécialité? L’histoire économique. Un vrai historien marxiste, tu lui demandait le cours du caleçon en 1830 à Lyon, il te répondait du tac au tac en argent du temps et te le reconvertissait en argent d’aujourd’hui. Bref, des maniaques de chiffres.
C’est une des raisons qui a fait que j’ai toujours détesté les marxistes, cette obsession de tout ramener à l’économie, et surtout, de tout interpréter cette tonne de chiffre dans un cadre dogmatique précis, rechercher la lutte des classes. La lutte des classes, pour ces gens là était partout, dans leur soupe, sous leur lit, partout partout partout.
Bref, les chiffres ne garantissent pas l’absence de dogme, même que souvent, il les confortes. La seule garantie de non-dogme, c’est l’ouverture d’esprit et l’esprit critique.
Ceci dit, les chiffres en soi ne sont pas méchant ou mauvais ou a craindre, c’est ce qu’on fait avec, ce que l’on fait dire au chiffres qui l’est.
Mais pour revenir au Marxisme, c’est un dogme économique, certe dépassé, mais un dogme économique. Le néo-libéralisme est un autre dogme économique, qui rapporte tout à l’économie, comme le marxisme, et donc qui me donne des boutons, tout comme le marxisme.
Bon sang… J’ai dit EXACTEMENT LE CONTRAIRE !
Je suis assez vieux pour avoir refusé de signer un bulletin de mise en candidature lors de la dernière élection fédérale.
Mais je persiste et signe, si les marxiste avait été autant des fans des chiffres et de l’économie, ils aurait eux-même sabordé leur parti politique.
Du tout, ça arrive justement quand on refuse de voir la vérité objective que traduise les stats. ce que les marxistes ont fait (et font toujours).
C’est pourquoi l’URSS manipulait les chiffres.
Le néo-libéralisme ne peut pas être un dogme parce que contrairement aux marxisme, les chiffre donne raison à la théorie néo-libérale.
Le néo-libéralisme a rendu les gens plus riches.
Les gens où une minorité d’individus ?
Attention…
Une majorité de gens.
Exemple 1
Exemple 2
Sur le truc de Ségolène, t’as raison, c’est pas vraiment toi qui l’a dit. Je suis allé fouiller et quand je l’ai retrouvé, c’était une réponse que tu avais faite le 1er Avril et où tu citais M.Piché de la Presse et c’est lui, dans cette citation qui parlait de Ségolène de représentente de la nouvelle gauche avec Tony Blair et cie.
J’ai parlé de vrais marxistes, pas de marxistes post-soviétique, de marxistes du temps où on pouvait être marxiste et être pris au sérieux. Des maniaques de chiffre je te dis. Mais aussi des dogmatiques finis. Les chiffres voulait nécessairement dire ce qu’il voulait bien qu’ils disent, quitte a faire des contorsions logiques plus que tordues.
Les stats, bien qu’elle contienne nécessairement un élément de vérité, ne traduise rien du tout. C’est le statisticien, ou la personne qui voit la statistique qui la traduit, et cette traduction est toujours subjective.
Non, ce n’est pas pour ça. Les chiffres, particulièrement les chiffres de productions, étaient manipilés, mais pas temps pour que l’URSS puisse bien parraitre, mais plutot parce que des bureaucrates, individuellement, voulaient sauver leurs cul ou obtenir des promotions. Prenons le grand bond en avant de la Chine sous Mao(le même raisonement s’applique aux goulags soviétique et plusieurs autres sphères de la société soviétique, et même de la notre dans une moindre mesure). Le parti demande a un bled perdu de produire disont 100 tonnes de riz. Sur ces 100 tonnes on en laissera la moitié au paysans et le parti prend l’autre moitié. Le gouverneur du bled perdu essai de motiver ses paysans, mais, manque de bol, une sécheresse de dernière minute(ou tout simplement, la norme était irréaliste), on réussi seulement a en produire 80. Le gouverneur, s’il annonce ça a son boss, il est mort ou en rééducation, donc il prétend avoir atteint, ou s’il est ambitieux, d’avoir dépassé le quota. Le parti demande donc ses 50 tonnes de riz(ou plus si le gouverneur a été ambitieux). Donc il en reste que 30 pour les paysans. L’année suivante, le parti demande aux paysans de produire 110 tonnes, il leur en laissera encore 50 pour se nourrir, donc en prendra 60, mais en réalité il ne s’en produit que 85, donc en reste que 25 pour les paysans, merde on a une famine sur les bras.
Bref, ce n’est pas tant le marxisme qui a été la cause des chiffres trafiqués, enfin pas directement, mais le totalitarisme en tant que tel.
C’est un dogme, que les chiffres l’appui sur un certain nombre d’élément n’y change rien. Il contraint une personne a avoir une foi. Privatise, tu va voir, ça va aller mieux. Y’a pourtant plusieurs cas où ça a été loin d’aller mieux. Et là tu va répondre, oui, mais ça a été fait n’importe comment, c’est ça que je disais, un dogme. Quand ça chie, c’est pas la faute au néo-libéralisme, c’est la faute du con qui sait rien faire, ou pire, parce qu’on a pas eut les couille d’aller plus loin.
Les vrais marxites c’es-tu comme le vrai monde ?
C’est pourquoi moi je me limite aux indices économiques reconnus, comme le PIB.
Je vais citer Revel en guise de réponse:
« Mais la fausseté n’a jamais empêché une vue de l’esprit de prospérer quand elle est soutenue par l’idéologie et protégée par l’ignorance. L’erreur fuit les faits lorsqu’elle satisfait un besoin. »
On parle de la même chose. Le petit bureaucrate voulait sauver son cul et le politburo ne disait rien pour lui aussi sauver son cul.
Parce que si les chiffres n’étaient pas trafiqués, alors il aurait fallu accepter la faillite du système communiste.
Totalitarisme et marxisme vont de paire.
Le marxisme ne peut pas vivre sans le totalitarisme parce que cette philosophie politique a besoin d’un état tout puissant pour imposer son bien.
Si la théorie est appuyer par des chiffres, alors par définition elle n’est pas un dogme…
Désolé mais là tu parts sur une méchante dérape.
Si le néo-libéralisme était un dogme, alors personne n’aurait admis qu’il y avait eu des mauvais exemples à ne pas répéter. On aurait fait comme les communistes et on aurait essayer de faire passer les catastrophes pour des réussites.
Désolé, mais le néo-libéralisme n’est pas un dogme car il existe encore une jugement critique. Quand des expériences tournent mal, au lieu gommer les faits pour ne pas contredire la théorie, on change la théorie.
C’est de cette manière que la science fonctionne.
Si c’était un dogme, alors on dirait « la privatisation de l’électricité en californie a été une réussite, c’est le modèle à suivre ».
Aucune personne sérieuse ne dit pareille chose, au contraire, on dit qu’on a beaucoup appris ce qu’il ne fallait pas faire à partir de la californie.
Voilà pourquoi le libéralisme, contrairement au communisme n’est pas un dogme. Car c’est une science vivante qui évolue et s’adapte selon les situations et les expériences nouvelles.
Ça tient compte de la démographie ? De la valeur de la monnaie actuelle ? Du roulement économique ?
À voir le salaire chinois (pour qui ?) monter de 8,20% alors que la valeur elle-même de la monnaie ne vaut presque rien, y’a rien d’étonnant dans ce petit pourcentage.
Des chiffres super bien lancés, très accrochants, mais, comme toujours, jamais expliqué avec les facteurs qui l’entoure.
C’est une beubitte qui a cesser d’exister peu après la chute de l’URSS.
Pas nécessairement. Je doute que l’on puisse qualifier les écoles de pensée marxistes en sociologie ou en histoire de totalitaires. Je dirait même que je me suis trompé, c’est pas tant le totalitarisme qui a causé cela, que le dogme, le parti ne pouvant avoir tort, on doit conformer la réalité au dogme.
Les dogmes évoluent eux aussi. Avant, il y avait le marxisme. Personne ne pouvait le faire triompher dans un pays où un notre. Une évolution est intervenue, une beubitte nommé Lénine, qui a intriduit la notion de pragmatisme dans le marxisme, toujours recouverte d’une bouillie pour chat pour le justifier, c’est devenu le Marxisme-Léninisme. Puis paf, arrive au pouvoir en Russie, en Mongolie et pour une première fois, pour une brève période, en Hongrie.
Le Marxisme-Léninisme a su se relever d’une terrible guerre civile, gagner la seconde guerre mondiale(pas tout seul on s’entend, mais en supportant le gros du front Allemand pendant 4 ans), financer les républicains de la guerre civile espagnole, ainsi que moult partis communistes dans le monde, a toffé 45 ans après la 2eme guerre mondiale a aider plein de pays du tiers monde, envoyer des hommes dans l’espace, être une superpuissance, se taper une guerre en Afganistan, etc. avant de finir par tomber. Je me dis que, même si c’était pas un régime exemplaire, même s’il avait une panacée de problème, pour qu’il toffe aussi longtemps a ce rythme, c’est qu’il devait bien avoir des choses qui n’allait pas si mal, des chiffres réels moins affreux que tu ne le crois. Assez pourqu’en 70, Brejniev dise sérieusement, en 1970, qu’il prévoyait dépasser l’économie américaine vers 1980, et que plusieurs indices réputés sûr à l’époque tendait a vouloir lui donner raison. Par exemple, la production de tracteurs soviétique dépassait la production américaine, le problème étant que les américains eux, a ce moment, produisait des ordinateurs plutot que des tracteurs, ce qui fait que les prédictions de Brejniev, en 1980, on en rigolait beaucoup.
Bref, le marxisme, lui aussi a corrigé certaines de ses erreur en cours de chemin, le marxisme, dans un pays arriéré comme la Russie de 1917, c’était un progrès a l’époque. L’occident a beaucoup appris des succès des communistes. Je te donne un exemple, la centralisation. Tu viens de faire une vague de terreur, t’a assassiné a peu près tout ce qu’il y avait de bourgeois, et t’a mis des travailleurs à la tête de tes usines, travailleurs, pour la plupart illétrés ou presque. Bref, il ne te reste dans le pays qu’une poignée de gens qui savent vraiment faire rouler une usine comme du monde. Pour éviter la catastrophe, les communistes ont décidé que cette poignée de gens compétents allait faire des procédures simples à suivre, question que même le dernier des totons puisse faire rouler une usine a peu près comme du monde s’il suit les procédures.
Le modèle a tellement eut de succès, qu’on le retrouve encore aujourd’hui dans la plupart des grosses compagnies, un guide de procédures, plus la compagnie est grosse, plus le guide est épais, qui évite que l’incompétence d’un seul mette la compagnie en péril. En même temps, ça tue un peu l’initiative et ça contraint des gens compétents a ne pouvoir exprimer qu’une partie des talents qu’ils ont a offrir… mais bon.
Mais comme trop souvent, je m’égare. On parlait de dogme et de Californie. Qu les néo-libéraux apprennent de leur erreur, tant mieux, mais en même temps, je crains qu’ils minimisent le problème, lui trouve des causes qui sont mineures en fait, alors que le problème est peut-être au fond, mais pourquoi diable privatiser une ressource aussi stratégique que l’électricité… En quoi la privatisation pouvait vraiment aider la Californie?
Le dogme, c’est la privatisation a tout prix. Ça marche souvent, mais y’a plein de secteurs qui ne devraient jamais être privatisés, et d’autres, seulement si c’est vraiment utile. Plusieurs économies de pays en voie de développement ont été handicapés par les mesures imposés par la BM et le FMI, et s’en sont sortis juste quand ils ont décidé de sortir du dogme, c’est à dire d’en prendre et d’en laisser.
Bon maintenant, on va défendre David un peu:
Bon, David a bien des défauts, mais au moins, il a l’honêteté de toujours mettre ses sources à la fin de ses billets.
Pour le premier exemple, t’a le taux d’inflation, qui de lui même tiens compte de la valeur de la monnaie, du roulement économique et gna gna gna, ce taux d’inflation est soustrait de l’augmentation de salaire, pour donner une augmentation réelle du salaire.
Pour le second, c’est en dollar constant de 1993. J’ai pas trouvé où c’était écrit dans sa source, mais si on demande gentiment a David où il a pris cette information selon laquelle c’était des dollars constant, il se fera un plaisir de nous la donner. Donc tout est évalué selon la valeur du dollar américain de 1993, une mesure donc neutre.
Bien sûr, c’est évident !
Prend donc le temps de mieux lire… Le % tient compte de la valeur du dollar du pays.
Vraiment ? Hé bien, on lâche pas, on apprend maintenant qu’il existe des vrais et des faux marxiste. Super !
L’application des doctrines marxistes peut uniquement se faire par le totalitarisme.
Franchement, tu devrais ouvrir un dico, un dogme par définition est quelque chose d’immuable, qui n’évolue pas, qui est fixé dans le temps et qui n’a pas besoin d’être appuyer par des faits.
Si c’était un dogme, alors on dirait “la privatisation de l’électricité en californie a été une réussite, c’est le modèle à suivre”.
Aucune personne sérieuse ne dit pareille chose, au contraire, on dit qu’on a beaucoup appris ce qu’il ne fallait pas faire à partir de la californie.
Moi je suis de l’école de Chicago et l’école de Chicago dit clairement qu’il existe des services publiques qui ne peuvent pas être privatisé de par leur nature.
Alors pourquoi ces pays pauvres juge que la Banque Mondiale a un bilan positif ?
Tu te trompes encore de billet…
Et le dogme Catholique n’a pas changé depuis St-Pierre je supose.
Les marxistes ont fait la même chose plusieurs fois(même si des fois ça leur a pris longtemps a comprendre, comme avec le Lysenkoîsme), et ça reste pourtant un dogme.
Bah euh, non, c’est le même billet que ton exemple 2… exactement celui auquel je faisais référence…
Absolument pas. L’immaculé conception et la résurrection ne sont pas prêt de changer non plus.
Encore une fois, je crains que tu abuses du terme « dogme ».
Mais Coco parlait de l’augmentation des salaires.
As-tu vraiment étudié le dossier? Il ne faut pas toujours se fier aux apparences.
http://www.cato.org/pubs/pas/pa406.pdf
http://www.reason.org/ps280.pdf
Ça dit essentiellement la même chose que j’ai dit.
C’est drole qu’on parle de ça, je crois que pas plus tard que la semaine dernière, Benoit XVI a abolis les lymbes, mais le dogme catholique ne change pas…
Bah quand ils sont plus nombreux a gagner plus qu’un dollar, c’est que leur salaire augmente non?
Les « lymbes » tout comme le « purgatoire » ne font pas parti du dogme catho.
Les dogmes sont différents des opinion théologiques.
Les dogmes de la religion catholique: l’immaculée Conception de Marie, l’assomption de Marie et l’infaillibilité pontificale.
Linfaillibilité pontificale date de la fin du XIXeme siècle sous Pie IX si ma mémoire ne me trompe pas.
Très juste. Et avant que tu le demandes, on ne parle pas de « l’évolution » d’un dogme mais de sa création.
C’est quand même ironique que dans un billet sur le communisme, on parle maintenant du droits canoniques et de théologie.